Dans nos
recherches nous sommes tombés sur de nombreuses statistiques incluant le nombre
de tasses de café par jour que boivent les français en moyenne, le pourcentage
de consommation d’arabica et de robusta, ou quelles sont les formes de préparation
les plus courantes.
Nous avion besoin d’une autre information : nous voulions savoir quelle était la raison principale pour laquelle les gens buvaient du café, et quels effets ils ressentaient après avoir bu une tasse.
C’est pourquoi, nous sommes allés deux dimanche soirs devant la place de la mairie de Saint-Maur (et son Petit Duc qui nous a fourni beaucoup d’intervenants) afin de questionner les passants.
Les pages qui suivent regroupent certaines de nos feuilles d’interview et les réponses qui ont été données. Voilà les résultats de notre étude :
· Sur 75 personnes questionnées, 57 consommaient du café régulièrement (=76%), normalement on aurait dû se rapprocher de 66 % puisque en Europe et en France 2 personnes sur 3 boivent du café, mais notre étude ayant été faite un dimanche soir devant la mairie, nous n’avons pas interrogé un ensemble hétérogène de la population (principalement des personnes relativement âgées). Nous avons donc pensé refaire un sondage dans la cour du lycée, auquel s’ajouteront les résultats du premier (en espérant que nous nous rapprocheront plus du pourcentage attendu). Ces résultats devraient être affichés dans notre production finale.
· Pour quelle raison les gens prennent-ils un café ?
29 d’entre eux pour le goût, c’est donc l’élément qui ressort le plus (=39%).
Pour 23 des intervenants, ce sont d’abord les effets qui sont importants (=31%).
Pour le reste, cela variait, c’était bien souvent une habitude, un petit moment à soi, le fait de boire un café avait quelque chose de social, quelqu’un nous a dit que c’était surtout pour le petit chocolat qui allait avec, une autre que c’est ce qu’il y a de moins cher au café…
Nous avion besoin d’une autre information : nous voulions savoir quelle était la raison principale pour laquelle les gens buvaient du café, et quels effets ils ressentaient après avoir bu une tasse.
C’est pourquoi, nous sommes allés deux dimanche soirs devant la place de la mairie de Saint-Maur (et son Petit Duc qui nous a fourni beaucoup d’intervenants) afin de questionner les passants.
Les pages qui suivent regroupent certaines de nos feuilles d’interview et les réponses qui ont été données. Voilà les résultats de notre étude :
· Sur 75 personnes questionnées, 57 consommaient du café régulièrement (=76%), normalement on aurait dû se rapprocher de 66 % puisque en Europe et en France 2 personnes sur 3 boivent du café, mais notre étude ayant été faite un dimanche soir devant la mairie, nous n’avons pas interrogé un ensemble hétérogène de la population (principalement des personnes relativement âgées). Nous avons donc pensé refaire un sondage dans la cour du lycée, auquel s’ajouteront les résultats du premier (en espérant que nous nous rapprocheront plus du pourcentage attendu). Ces résultats devraient être affichés dans notre production finale.
· Pour quelle raison les gens prennent-ils un café ?
29 d’entre eux pour le goût, c’est donc l’élément qui ressort le plus (=39%).
Pour 23 des intervenants, ce sont d’abord les effets qui sont importants (=31%).
Pour le reste, cela variait, c’était bien souvent une habitude, un petit moment à soi, le fait de boire un café avait quelque chose de social, quelqu’un nous a dit que c’était surtout pour le petit chocolat qui allait avec, une autre que c’est ce qu’il y a de moins cher au café…
- Quant à ceux qui choisissaient le café pour ses effets, la majeure partie le consomme parce qu'il permet de résister à la fatigue (18 des questionnés), un autre groupe pour son effet excitant (16 d'entre eux). Les 3 autres réponses sorties sont le plaisir que procure le café et la dépendance qu'il entraîne (9 personnes pour chaque), enfin 2 personnes interrogées ont dit que le café leur permettait de se concentrer pendant leur travail.
· Au niveau des effets, presque tous nous ont répondu que cela réveillait, cela boostait, même si une partie pas si petite nous a appris ne plus rien ressentir après une tasse de café (par contre quand ils n’en prenaient pas ils pouvaient avoir mal à la tête). L’un d’entre eux en prenaient quand même 50 par jour, je me demande toujours s’il était sérieux ou pas.
Nous avons constatés que la première raison de consommation de café chez les jeunes semblait être les effets qu'il produisait. Nous avons donc émis une hypothèse : de manière générale, les gens commencent à consommer du café en recherchant ses effets et ce n'est qu’après que le plaisir du gout prends la place de la recherche des effets. Le sondage sur Facebook visait à toucher une population plus jeune que le sondage dans la rue.
Un autre sondage a été fait via Facebook, on y a interrogé 105 personnes, uniquement des jeunes de moins de 25 ans, dont la plupart privilégie les effets plus que le gout ou son prix exceptionnel ( c'était les 3 choix proposés) avec 42 pour les effets, 37 pour le gout et 26 pour le prix.
En tout cas ce sondage nous a appris beaucoup de choses, sur la variété de façons de faire le café, sur le nombre de cafés que peuvent prendre certains (celui à 50 tasses/jour n’est pas tout seul) et puis le fait que certains ne ressentent plus rien (après cela Quentin et Anthony ont approfondis leurs recherches là-dessus pour savoir s’il était bien possible de ne pas ressentir d’effets). Quant au reste de l'équipe nous avons eu envie de faire de nouvelles recherches sur les différentes marques de café et surtout sur les différences entre arabica et robusta.
Un autre sondage a été fait via Facebook, on y a interrogé 105 personnes, uniquement des jeunes de moins de 25 ans, dont la plupart privilégie les effets plus que le gout ou son prix exceptionnel ( c'était les 3 choix proposés) avec 42 pour les effets, 37 pour le gout et 26 pour le prix.
En tout cas ce sondage nous a appris beaucoup de choses, sur la variété de façons de faire le café, sur le nombre de cafés que peuvent prendre certains (celui à 50 tasses/jour n’est pas tout seul) et puis le fait que certains ne ressentent plus rien (après cela Quentin et Anthony ont approfondis leurs recherches là-dessus pour savoir s’il était bien possible de ne pas ressentir d’effets). Quant au reste de l'équipe nous avons eu envie de faire de nouvelles recherches sur les différentes marques de café et surtout sur les différences entre arabica et robusta.